La conception d’un plan de marquage nécessite un certain nombre d’étapes, qu’il est préférable de ne pas occulter. Sa rédaction constitue un document indispensable à une bonne mesure analytique ou publicitaire. Par conséquent, son élaboration consciencieuse respectera une logique, un ordonnancement, limitant les risques d’erreurs.
La première étape, certainement la plus importante, sera de réunir tous les intervenants (direction, marketing, commercial, DSI, prestataires) qui seront concernés par la mise en place du tracking. Cette réunion de cadrage n’aura qu’un seul objet, celui de lister KPIs, objectifs et tunnels de conversion qu’il faudra tracer, analyser, spécifier.
L’objet de cette rencontre sera de passer en revue le site internet à tracer, de recenser les besoins métiers de chaque service, lister les points de blocages techniques, les particularités et attentes.
A partir des informations échangées, il faudra également prévoir la manière dont la sortie statistique sera livrée, une fois le tracking implémenté, les dimensions et métriques personnalisées qu’il faudra configurer. Le rendu dépendra directement de la conception du plan de tracking.
Ce n’est qu’une fois le périmètre de la prestation définit que le plan de tracking pourra être rédigé. Cette étape sera d’autant plus simple à réaliser, que tous les cas de figure possibles, dans le parcours client, auront été abordés lors de la réunion préparatoire.
Lorsque sa rédaction est terminée, il y aura souvent un décalage entre ce qui avait été envisagé et ce qui sera finalement livré, soit en raison de blocages constatés tardivement, soit que la conception du plan de tracking amènera une évolution de sa configuration initiale. Dès lors il devient utile de présenter ce plan de tracking aux développeurs qui devront l’implémenter sur le site. Passer en revue l’ensemble des points tracés, des variables à remonter, leur permettra de mieux en comprendre le fonctionnement, la faisabilité et, par conséquent, d’être plus efficace dans sa programmation.
La troisième étape sera celle de l’implémentation. Les développeurs devront programmer ce plan qu’ils se seront appropriés lors de la réunion de présentation. Dans un premier temps, il sera plus efficace de tracer la préprod, afin de s’assurer du bon fonctionnement du site avec une couche supplémentaire de tracking.
Une fois le tracking posé, il faudra en faire la recette. Cette quatrième étape consistera, pour le rédacteur du plan de marquage, à vérifier et contrôler que les éléments programmés correspondent au plan prévu et permettent le fonctionnement optimal du tracking. Il faudra alors rigoureusement notifier toute erreur, afin de la corriger.
Durant cette étape de recette, il ne faudra pas seulement vérifier la conformité des codes javascript, mais également afficher le contenu de chaque variable, sa syntaxe et sa nomenclature. Par exemple, il peut arriver qu’un site présente des prix en milliers configurés à l’anglaise, avec un séparateur en virgule. La remontée statistique d’une telle variable perdrait la notion des milliers, ce qui serait problématique, pour calculer un chiffre d’affaire (1,250,00 € est interprété par les outils de tracking par ce chiffre : 1.25000 €, entrainant un écart de 1248,75). Une autre source d’erreur courante concerne les montants, entre ceux hors-taxes, taxes incluses et les réductions et coupons…
Chaque erreur trouvée devra être notifiée pour être corrigée. Cela donnera lieu à une seconde recette du tracking en préprod, jusqu’à l’obtention du code attendu.
Dès la première recette, l’on peut commencer à programmer dans les outils concernés, les éléments du tracking. Cependant, cette étape ne pourra être finalisée que lorsque le plan aura été intégralement respecté et implémenté.
Une fois la programmation des outils effectuée, il faudra tester les parcours clients identifiés et tracés. La tracking ainsi programmé devra répondre précisément aux mesures envisagées lors de la première réunion préparatoire.
Ce n’est que lorsque la conformité des données, des parcours et des KPIs aura été validée, que débutera la phase finale du plan de marquage.
En effet, dès lors que le préprod est correctement configurée, l’étape suivante consistera à passer les modifications en production, pour les rendre utilisables. Seulement, le diable se cachant dans les détails, une dernière recette devra être conduite. Il faudra s’assurer de la bonne migration de chaque élément programmé.
Il ne restera qu’à s’assurer que les identifiants des conteneurs et balises, utilisés sur la préprod auront bien été mis à jour pour s’adapter à la mise en production (si l’on a une propriété Analytics en préprod, il faudra changer l’id de la propriété pour celle de la production).
Lorsque tout est terminé, la dernière étape consistera à restituer les éléments programmés en présentant l’efficacité du plan prévu, à l’aide des outils statistiques, afin d’en mesurer la pertinence et l’adéquation avec les objectifs attendus.
La conception d’un plan de marquage nécessite un certain nombre d’étapes, qu’il est préférable de ne pas occulter. Sa rédaction constitue un document indispensable à une bonne mesure analytique ou publicitaire. Par conséquent, son élaboration consciencieuse respectera une logique, un ordonnancement, limitant les risques d’erreurs.
La première étape, certainement la plus importante, sera de réunir tous les intervenants (direction, marketing, commercial, DSI, prestataires) qui seront concernés par la mise en place du tracking. Cette réunion de cadrage n’aura qu’un seul objet, celui de lister KPIs, objectifs et tunnels de conversion qu’il faudra tracer, analyser, spécifier.
L’objet de cette rencontre sera de passer en revue le site internet à tracer, de recenser les besoins métiers de chaque service, lister les points de blocages techniques, les particularités et attentes.
A partir des informations échangées, il faudra également prévoir la manière dont la sortie statistique sera livrée, une fois le tracking implémenté, les dimensions et métriques personnalisées qu’il faudra configurer. Le rendu dépendra directement de la conception du plan de tracking.
Ce n’est qu’une fois le périmètre de la prestation définit que le plan de tracking pourra être rédigé. Cette étape sera d’autant plus simple à réaliser, que tous les cas de figure possibles, dans le parcours client, auront été abordés lors de la réunion préparatoire.
Lorsque sa rédaction est terminée, il y aura souvent un décalage entre ce qui avait été envisagé et ce qui sera finalement livré, soit en raison de blocages constatés tardivement, soit que la conception du plan de tracking amènera une évolution de sa configuration initiale. Dès lors il devient utile de présenter ce plan de tracking aux développeurs qui devront l’implémenter sur le site. Passer en revue l’ensemble des points tracés, des variables à remonter, leur permettra de mieux en comprendre le fonctionnement, la faisabilité et, par conséquent, d’être plus efficace dans sa programmation.
La troisième étape sera celle de l’implémentation. Les développeurs devront programmer ce plan qu’ils se seront appropriés lors de la réunion de présentation. Dans un premier temps, il sera plus efficace de tracer la préprod, afin de s’assurer du bon fonctionnement du site avec une couche supplémentaire de tracking.
Une fois le tracking posé, il faudra en faire la recette. Cette quatrième étape consistera, pour le rédacteur du plan de marquage, à vérifier et contrôler que les éléments programmés correspondent au plan prévu et permettent le fonctionnement optimal du tracking. Il faudra alors rigoureusement notifier toute erreur, afin de la corriger.
Durant cette étape de recette, il ne faudra pas seulement vérifier la conformité des codes javascript, mais également afficher le contenu de chaque variable, sa syntaxe et sa nomenclature. Par exemple, il peut arriver qu’un site présente des prix en milliers configurés à l’anglaise, avec un séparateur en virgule. La remontée statistique d’une telle variable perdrait la notion des milliers, ce qui serait problématique, pour calculer un chiffre d’affaire (1,250,00 € est interprété par les outils de tracking par ce chiffre : 1.25000 €, entrainant un écart de 1248,75). Une autre source d’erreur courante concerne les montants, entre ceux hors-taxes, taxes incluses et les réductions et coupons…
Chaque erreur trouvée devra être notifiée pour être corrigée. Cela donnera lieu à une seconde recette du tracking en préprod, jusqu’à l’obtention du code attendu.
Dès la première recette, l’on peut commencer à programmer dans les outils concernés, les éléments du tracking. Cependant, cette étape ne pourra être finalisée que lorsque le plan aura été intégralement respecté et implémenté.
Une fois la programmation des outils effectuée, il faudra tester les parcours clients identifiés et tracés. La tracking ainsi programmé devra répondre précisément aux mesures envisagées lors de la première réunion préparatoire.
Ce n’est que lorsque la conformité des données, des parcours et des KPIs aura été validée, que débutera la phase finale du plan de marquage.
En effet, dès lors que le préprod est correctement configurée, l’étape suivante consistera à passer les modifications en production, pour les rendre utilisables. Seulement, le diable se cachant dans les détails, une dernière recette devra être conduite. Il faudra s’assurer de la bonne migration de chaque élément programmé.
Il ne restera qu’à s’assurer que les identifiants des conteneurs et balises, utilisés sur la préprod auront bien été mis à jour pour s’adapter à la mise en production (si l’on a une propriété Analytics en préprod, il faudra changer l’id de la propriété pour celle de la production).
Lorsque tout est terminé, la dernière étape consistera à restituer les éléments programmés en présentant l’efficacité du plan prévu, à l’aide des outils statistiques, afin d’en mesurer la pertinence et l’adéquation avec les objectifs attendus.